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Ce récit est la suite de : 1 Commencement
il y a 10 ans
Plusieurs semaines sans s'être vus et l'été nous avait permis de nous retrouver enfin. Quelques jours de soleil sans les contraintes usantes du gris quotidien. Elle avait souhaité que nous fassions du camping en pleine nature, pour nous éloigner des grondements de la ville.
Un épisode de vacances passées me revint à l'esprit : j'avais découvert, l'année passée, lors d'une randonnée de quelques jours, un lieu étonnant, perdu dans un val échancré des contreforts du massif central. Rien d'extraordinaire, rien de grandiloquent, une rivière gracieuse et agile jouant pendant plusieurs kilomètres avec les mousses, les pierres quelle avait arrondies, bondissant parfois en cascades lorsque le terrain s'y prêtait. A certains endroits, des clairières permettaient un frais repos dans les traits lumineux de l'après midi chaude. Une journée entière avait été nécessaire pour longer cet Eden et nous n'avions pu nous arrêter que pour un déjeuner rapide avant rejoindre l'étape du soir. Je m'étais promis d'y revenir.
Une journée de marche nous avait donc menés elle et moi dans une de ces clairières. Pour ma part, je me serais arrêté dans plusieurs des éclaircies croisées en chemin mais elle disait vouloir planter la tente là où se trouvait, onirique, la cascade que j'avais décrite. Nous y arrivions. Rien ne manquait à mon souvenir. De larges flaques de mousse vert tendre ornaient le côté nord de la rivière, de l'autre côté, la forêt avait ouvert un espace permettant aisément notre installation. La rivière arrivait en ce lieu vive et bruissante pour s'alanguir devant nous en un bassin calme, retenue par les rochers plats qui l'entouraient. Elle faisait, au delà, une cascade dont le bruit était atténué par la distance et le devers. Une fois installés elle enfila un maillot.
Simulacre de vêtement. Il la dénudait plus qu'il ne la vêtait. Noir, à distance, n'était la discrète ficelle qui ceignait ses hanches, il laissait croire qu'elle n'avait pas caché sa courte toison sombre. Elle plongea dans la rivière... Je la rejoignis. L'eau, passée sur les roches chauffées par le soleil de la journée était presque chaude. A ma portée, je la saisi adroitement par la taille pour l'embrasser et je défis le haut de l'inutile maillot je faisais apparaître sous l'eau ses deux seins blancs qui semblaient mieux faire miroiter l'onde que le soleil lui même.
Je glissais mes mains sur sa peau en des caresses plus précises et plus fermes. Elle frémit lorsque ma main tira un peu sur le bas du maillot que je resserrais pour comprimer en une fois sa vulve mais elle ne cessa pas de m'embrasser. Elle gémissait, abandonnée et ne cherchait pas à prendre d'initiative. Je connaissais ce signal inconscient, cet alanguissement qui l'offrait, sans résistance, aux douces V i o l ences qu'elle appelait. Je saisi plus fermement encore le maillot et en tordait l'étoffe pour mieux comprimer son sexe. De l'autre main, ferme, je caressais rudement les seins offerts. Elle réagit : "On pourrait nous voir !". Je répondis qu'il n'y avait aucune chance qu'apparaisse un importun là où nous étions. Pour accompagner ces mots je lui enlevais prestement le bas de son maillot qui s'envola vers la rive, hors de portée.
Elle en resta inquiète quelques secondes, le temps de quelques caresses, de pincer plus fortement un téton elle s'abandonna à nouveau. Craignait-elle vraiment qu'on nous surprenne ou bien exprimait-elle, à sa façon, un souhait dissimulé ? Elle tangua doucement au rythme de mes mains, je l’entraînais vers une large pierre plate, chaude de l'après midi, et la fit se coucher sur le ventre.
Comme je plaquai ma main sur ses reins, donnant une première claque sur ses cuisses, elle ne put se retenir de tendre les fesses en arrière, je la récompensais en glissant doucement mais fermement deux doigts dans son sexe, appuyant mon pouce sur son anus. Les gémissements se muèrent en petit cris. Il devenait impossible de différencier l'eau qui coulait sur la pierre de sa cyprine, elle mouillait habituellement beaucoup, à mon plus grand plaisir. Quelques va-et-vient ouvrirent encore ses jambes elle se tordait au sol, trop remuante pour que je puisse aisément jouer avec son corps.
La plaquant plus fort sur la roche, je lui intimais de tendre les bras vers l'avant, mains jointes et de ne plus bouger qu'à ma demande. Elle souffla un "oui" qui augurait bien de cette après-midi. Je décidais de pousser mon avantage et de f o r c e r un peu ce qu'elle n'avait pas demandé jusqu'alors, que je n'avais pas proposé encore, mais ne refuserait pas. Un troisième doigt rejoignit les deux autres. Après l'avoir fouillée ainsi pendant quelques instants je laissais en elle les trois doigts que j'écartais du mieux que je pouvais et les retirais assez rapidement. Elle cria. Je plongeai à nouveau mes doigts joints dans son vagin et recommençais l'opération à plusieurs reprises.
Elle inondait la roche, le doute était levé, ses sucs n'étaient plus mélangés à l'eau, le bruit de clapot que produisait mes doigts dans son sexe trahissait l'inondation. Un quatrième doigt entra qui prolongea, sans pause, le cri du retrait précédant cette pénétration. Offerte comme elle l'était, les cheveux emmêles, les bras étirés vers l'avant, cuisses ouvertes, visage rouge, cris retenus elle avait tout de ce qui, en elle, me fascinait : un abandon souhaité, une animalité brute, dévoilée, impudique, là où ne se trouvait avant que discrétion voire timidité.
Le plaisir submergeait toute décence, toute retenue. Elle se consacrait toute entière à sa jouissance. Jugeant que sa position lui laissait trop d'abandon, je décidais de la contraindre à une posture moins confortable. Je lui demandais de s'accroupir, jambes écartées, sur la pointe des pieds, de placer ses bras entre ses genoux, mains en appui tout près de ses orteils et de rester dans cet équilibre précaire quoiqu'il advienne. La première série de claques surprirent un peu ses fesses et elle ne put s'empêcher de pousser un grognement sourd.
Elle réussit cependant à tenir l'équilibre. Plusieurs séries de coups ne l'ont pas plus déstabilisée, je frappais plus fort, sentant dans ma propre main des élancements chauds qui témoignaient de ce qu'elle devait endurer de son côté. Deux larmes commençaient de poindre aux coins de ses yeux mais elle tenait bon. M'étant fixé comme objectif de lui faire perdre l'équilibre par les traitements que je lui infligeais, je décidais de changer de stratégie. Je glissais à nouveau un doigt autoritaire dans son vagin qui fut sans autre effet qu'un soupir d'aise.
Accroupie, elle reçu encore trois doigts et je m'excitais fort des humidités de son marécage intime. Elle continuait de gémir, sans bouger malgré les va et vient. J'accélérais le mouvement autant qu'il me fut possible puis m'interrompis brusquement, les doigts trempés, et enfilai fermement et profondément le majeur dans son anus, donnant l'instant d'après, main fermée, doigt planté profondément, des bourrades puissantes. Elle cria sa surprise et peut-être aussi son plaisir, perdit l'équilibre et se trouva à quatre pattes, tentant de retrouver ses esprits.
Je ne la laissais pas trop reprendre souffle. Lui saisissant les jambes, je la laissais dans cette position mais en en lui écartant les genoux, lui cambrant les reins tout en lui demandant de placer ses bras en avant, mains jointes, épaules touchant le sol. Essoufflée, elle maintint la position. Je souhaitais la préparer à un exercice qui m'était venu à l'esprit l'instant d'avant. Je profitais de l'abondance de sa cyprine pour, plongeant mes doigts dans son sexe, lubrifier son anus.
Elle s'inquiétait de ce qui allait suivre, elle avait compris, dès le début de ces aller-retour lubrifiants entre son vagin et son anus, que la première pénétration qu'elle venait de connaitre ne serait pas la seule. Cependant, je ne souhaitais pas la sodomiser, pas encore... Je réservais à plus tard ce dépucelage. Je me délectais uniquement de sa crainte et mesurais là sa soumission. Elle savait ce que cette lubrification pouvait signifier, elle avait senti la pénétration volontairement profonde de mon doigt sans autre réaction que son cri de tout à l'heure. N'avait prononcé aucun mot. Se tenait, à ma commande, fesses écartées au delà de l'impudeur et maintenant subissait cette lubrification délicate porteuse d'inconnu. J'aurais juré qu'elle mouillait de plus belle.
L'ayant suffisamment enduite je commençais de mettre en oeuvre la suite de mon plan. Toujours en position, je lui administrais une courte et sèche série de claques bien appuyées, de celles qui font couler ses larmes. Je changeai pour une pénétration de deux doigts dans le sexe, revenant de suite à la fessée, au sexe à nouveau avec plus de vigueur. Les cris provoqués par les coups alternaient avec ceux du plaisir. Je changeai à nouveau pour glisser après une nouvelle série de claques rudes un doigt dans son anus, revenant de suite après à la fessée. Ce traitement dura plusieurs minutes, crescendo, claques, vagin, claques, anus... Les larmes coulaient, le rouge aux joues, le souffle court elle S a n g lota le mot "orange".
Ce mot qui signifiait qu'elle était presque au bout de ce qu'elle pouvait accepter. Je terminais donc avec quatre doigts dans son vagin pour deux (difficilement) entrés dans son anus. Je laissais ces deux doigts au fond d'elle en la plaçant sur le flanc pour la retourner, l'asseyant à mes côtés pour la prendre contre moi et l'embrasser. Je fis bouger encore un peu mes doigts avant de les retirer. Elle était silencieuse, au bord des S a n g lots, comme éperdue, ne sachant que dire. Se sentant, elle me l'a avoué peu de temps après, partagée entre le bonheur de s'être donnée amoureusement et l'étonnement fautif d'avoir repoussé une des limites que son éducation avait placée ça et là. Elle m'avait obéi, toute à sa confiance, amoureuse et abandonnée au plaisir. Son éducation montrait donc des failles. Nous nous sommes promis de lui en faire connaitre d'autres. A suivre...
Prochain épisode : cliquer ici pour lire la cascade
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